En étant présent, j’accueille les choses telles qu’elles sont.
Il ne s’agit pas de décider si elles sont justes ou pas.
Même si les choses paraissent terribles, je ne porte aucun jugement de valeur.
Je constate simplement qu’elles sont comme elles sont.
Il ne s’agit pas de décider si elles sont justes ou pas.
Même si les choses paraissent terribles, je ne porte aucun jugement de valeur.
Je constate simplement qu’elles sont comme elles sont.
Pouvoir envisager ainsi les situations est très utile dans les relations personnelles difficiles.
Cela ne veut pas dire que nous y sommes indifférents, mais que nous accueillons ce qui est, de façon à pouvoir vraiment le comprendre.
Il est impossible de comprendre ce que l’on n’accueille pas.
Si je veux comprendre quelque chose d’horrible, il faut accueillir son horreur.
Ce n’est pas pour autant que je l’aimerai, mais je peux l’accueillir.
Et je peux par la suite le comprendre.
Cela ne veut pas dire que nous y sommes indifférents, mais que nous accueillons ce qui est, de façon à pouvoir vraiment le comprendre.
Il est impossible de comprendre ce que l’on n’accueille pas.
Si je veux comprendre quelque chose d’horrible, il faut accueillir son horreur.
Ce n’est pas pour autant que je l’aimerai, mais je peux l’accueillir.
Et je peux par la suite le comprendre.
Plus je réagis par ignorance en rejetant et en refoulant certaines choses, plus je constate que ces choses me poursuivent.
Attention ! Accepter dans l’accueil ne signifie pas approuver ou aimer mais cela implique d’être prêt à supporter ce qui est difficile et d’être capable d’endurer la peine et la douleur qui l’accompagnent.
Attention ! Accepter dans l’accueil ne signifie pas approuver ou aimer mais cela implique d’être prêt à supporter ce qui est difficile et d’être capable d’endurer la peine et la douleur qui l’accompagnent.
Je peux lâcher les choses quand je les accueille, mais quand je ne les accueille pas, ma vie n’est qu’une série de réactions destinées, soit à échapper aux conditions quand elles sont mauvaises, soit à m’y attacher si elles sont bonnes.
Muriel Kennel